
Une tragédie bouleversante a secoué le camp de réfugiés de Nakivale en Ouganda ce week-end. Un jeune garçon burundais de huit ans, porté disparu samedi, a été retrouvé mort dimanche dans des circonstances horrifiantes, victime d'un acte de cannibalisme.
L'alerte concernant la disparition de l'enfant a été lancée samedi soir, le 22 mars, via des groupes WhatsApp. La famille burundaise, réfugiée dans le camp, implorait l'aide de la communauté pour retrouver leur fils.
Malheureusement, le lendemain, le corps de l'enfant a été découvert dans un état effroyable. Le cadavre, retrouvé dans la brousse, était démembré et couvert de brûlures.
Dans un développement choquant, une femme de nationalité congolaise a été appréhendée en possession de restes du corps de l'enfant. Selon les sources locales, cette femme est l'auteure de cet acte barbare. Un témoin a déclaré : « L'enfant a été retrouvé assassiné. Ils l'ont brûlé et ils ont mangé la chair de ses jambes. Le monde est devenu terrible. »
La communauté du camp de Nakivale est plongée dans un état de choc et de détresse suite à cet événement tragique. La famille de la victime et les voisins sont particulièrement affectés par cette perte brutale et la nature horrifiante du crime.
Les autorités ougandaises ont réagi rapidement. La suspecte congolaise est actuellement en détention dans le cachot de la police ougandaise.