Plus de 190 millions de dollars américains sont nécessaires pour venir en aide aux personnes démunies dont l’effectif ne cesse d’augmenter au Burundi. Les partenaires humanitaires estiment une augmentation de 35% par rapport à l’année 2020.
La mésentente s’observe entre les autorités communales de Rugombo et les commerçants du maïs de la province Cibitoke. Actuellement, le commerce de cette denrée est paralysé, les commerçants n’étant pas satisfaits par le prix fixé par les autorités.
Depuis ce mercredi 03 mars, la route Kayanza-Kanyaru est impraticable. Le tronçon le plus endommagé est situé au niveau du pont de la rivière Kayave en commune Busiga, de la province Ngozi.
La carence de l’électricité perturbe certaines activités du secteur informel dans certaines zones du nord de la ville de Bujumbura. Les habitants de cette localité déplorent le fait que même lorsqu’ils sont servis, la surintensité du courant électrique provoque des incendies.
- La Covid-19 à l’origine de la perturbation des prix des aliments de base
- La dégradation continuelle de la RN3 inquiète les usagers.
- Le HCR inquiet de la capacité du Burundi à prendre en charge ses rapatriés
- Insuffisance alimentaire, un des facteurs contraignants au rapatriement prématuré des réfugiés Burundais