J.K vit dans le camp des réfugiés de Nakivale en Ouganda depuis 2018 juste après avoir fui le Burundi. Pour cette Burundaise, qui indique que son mari a été assassiné au Burundi dans la crise de 2015, la ration alimentaire régulière et variée des enfants prime sur leur scolarité.
Le soudage est un métier pratiqué par certains réfugiés de Nakivale pour couvrir certains besoins fondamentaux. C’est un métier qui permet à la famille de Janvier Niyongabo de survivre.
Aisha Bucinyibuka fait le commerce des samboussas depuis 2017 dans le camp des réfugiés de Nakivale en Ouganda. Dans ce camp et dans la sous-région, ‘’samboussa’’ c’est l’appellation la plus connue de ce petit beignet à la pâte feuilletée qui est fourré de viande, d’épices et de piments ou de pommes de terre.
Le métier de coiffeur fait partie des activités génératrices de revenus dans le camp des réfugiés de Nakivale en Ouganda. C’est le seul gagne-pain de Jérémie Nkurunziza.