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Arrestation arbitraire d’un citoyen de Butihinda
Une personne totalise cinq jours d’incarcération dans les cachots de police à KAMARAMAGAMBO en province MUYINGA. Cet homme connu sous le prénom d’ASMAN a été arrêté mardi dernier par la police l’accusant d’avoir franchi la frontière sans autorisation. Ce que conteste sa famille disant qu’il serait détenu pour des raisons politiques à cause de son appartenance politique
Commémoration ce lundi du 14ème anniversaire des massacres de Gatumba. Une attaque perpétrée sur le camp de réfugiés congolais Banyamulenge, faisant plus de 160 morts et une centaine de blessés. Réunie ce samedi à Manchester, la communauté banyamulenge vivant en Angleterre réclame toujours justice.
Une justice animée par une idéologie politico-ethnique
Ils interpellent la justice à se ressaisir pour couper court avec la violation manifeste de la loi alors qu’elle était sensée en assurer le strict respect. Ils, ce sont les prisonniers de différentes maisons carcérales qui restent gardés en détention illégalement. En plus de ceux qui sont acquittés par les cours et tribunaux, il y en a d’autres qui ont purgé leurs peines, ou encore qui bénéficient de la grâce présidentielle. Toutes ces catégories réclament leur libération.
L’exécutif défie le judiciaire
Une maison a été détruite la journée de ce lundi dans la zone urbaine de Gihosha en mairie de Bujumbura, dit-on pour donner passage aux eaux des pluies. Les propriétaires crient à l’injustice et à la destruction méchante de leur maison car ils avaient gagné le procès au tribunal de grande instance. L’administration locale dit qu’elle n’a fait qu’exécuter un jugement rendu par le tribunal de résidence.
Le flou plane sur l’assassinat du Lieutenant Général Adolphe NSHIMIRIMANA, trois ans après son meurtre
02 Août 2015-02 Août 2018 : 3 ans jour pour jour que l’ancien patron du service national des renseignements burundais, le Lieutenant Général Adolphe NSHIMIRIMANA a été assassiné. Cela s’est passé en zone Kamenge, tout près de l’hôpital Roi Khaled. Après ce meurtre, six militaires ont été arrêtés, accusés d’avoir trempé dans cet assassinat. Ce que réfutent les présumés coupables qui réclament plutôt justice, surtout qu’ils n’ont été auditionnés qu’à deux reprises en trois ans.
Deux Imbonerakure ont été arrêtés en possession d’un parc volé ce mardi 31 Juillet dans la zone Buringa, commune Gihanga en province Bubanza. Mais au lieu d’être acheminés vers des lieux de détention légale, ces jeunes Imbonerakure ont été conduits à la permanence du Cndd-Fdd située au village 4. Un fait que dénoncent les habitants de la localité.
Cinq personnes de la commune Gitega sont détenues depuis une semaine au commissariat de la police à Gitega. A l’origine, des conflits entre dirigeants de la communauté musulmane de cette province. Certains disciples de l’islam dans cette province, révèlent que d’autres personnes pourraient être arrêtées prochainement.
Un an déjà que l’activiste burundais des droits de l’homme, Germain RUKUKI, croupit injustement en prison
13 Juillet 2017-13 Juillet 2018, un an jour pour jour que Germain RUKUKI croupit en prison. Arrêté chez lui, ce défenseur burundais des droits de l’homme est accusé d’atteinte à la sûreté de l’Etat.
Quatre ressortissants français sont incarcérés au Burundi depuis ce vendredi. A travers leur compte twitter, la police a annoncé que ces 4 français et un burundais ont été arrêtés en mairie de Bujumbura et sont poursuivis pour crime économique.
Le procès de 18 militaires et policiers accusés d’atteinte à la sûreté de l’Etat et de détention illégale d’armes a été auditionné par la Cour d’Appel de Bujumbura en itinérance à Ngozi ce lundi. Les prévenus rejettent en bloc les accusations du ministère public arguant que même les aveux en sa position ont été obtenus par torture. D’où ils demandent que soient uniquement considérées leurs plaidoiries devant la barre, conformément à la loi.