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“La voix des sans voix”

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Incarcération depuis jeudi au cachot de la commune Kiremba province Ngozi de quatre personnes d’une même famille. Leur seule faute est de s’être interposées dans une dispute provoquée par les Imbonerakure

Huit personnes de la commune Matana, province Bururi sont aux arrêts depuis une semaine. Elles sont accusées d’avoir abattu des arbres appartenant à l’Etat. Ce que les victimes réfutent et parlent plutôt d’abus de pouvoir de la part des autorités administratives. Pour le moment, toutes ces personnes sont détenues dans les cachots de la commune Matana.

La persécution à l’endroit des opposants au pouvoir de Bujumbura se poursuit. A titre illustratif, trois habitants de la commune Matongo membres du parti Fnl de la coalition Amizero y’Abarundi ont été transférés au commissariat de police à Kayanza après un séjour passé dans les cachots de la commune Matongo. Le crime leur reproché : avoir vandalisé les emblèmes du parti Cndd-Fdd.

Grognes et lamentations chez les détenus qui ont purgé leur peine mais qui croupissent encore à la prison centrale de Mpimba. Ces prisonniers sont surtout ceux qui ont été arrêté pour avoir contesté le 3ème mandat de Pierre Nkurunziza. Autre inquiétude soulevée par ces derniers, c’est qu’il y’aurait une planification en cours visant à leur faire endosser d’autres infractions diverses afin qu’ils restent maintenus en détention.

Beaucoup de prisonniers sont détenus illégalement dans différentes prisons du pays. Tous ont été arrêtés en 2015 pendant les manifestations contre le 3éme mandat de Pierre Nkurunziza. Certains ont été acquittés depuis 4 mois mais restent toujours en prison. Ils demandent au ministre de la justice de les rétablir dans leurs droits.

La population de la zone Gatumba s'inquiète suite à la libération d'un Imbonerakure qui était détenu depuis le mois de Mai 2017, accusé d'assassinat de Hilaire Mohamed, habitant de cette même  zone.

Une libération que cette population juge injustifiable vu que  cet Imbonerakure avait été arrêté en flagrant délit avec une arme.

Ils auront finalement passé trois jours en détention à l’intérieur du camp des réfugiés de Nyarugusu, au nord-ouest de la Tanzanie. Ces réfugiés burundais avaient été arrêtés dans une cafétéria située dans la zone huit.

La catégorie des prisonniers de Mpimba ayant purgé leurs peines et ceux qui ont été blanchis suspecte que les autorités de cette prison veulent cacher leur existence. Le matin de ce mercredi, les chargés de sécurité ont refusé le passage à ces prisonniers au moment où on les avait appelés en disant que la direction les convoque.

‘’Nous sommes encore en détention. Que la ministre de la justice cesse de mentir !’’. Ce message est parmi des multitudes que certains détenus lancent quelques jours après que la ministre Aimée Laurentine KANYANA ait nié la détention en prison des gens qui, en principe, devraient être libérés. Certains de ces détenus affirment avoir purgé leurs peines.

Un officier du grade de Major qui travaillait dans la ville de Kirundo est incarcéré depuis ce mardi 4 septembre 2018 à la prison centrale de Ngozi. Il est accusé de grivèlerie et de torture à l’endroit de la population. Les habitants de la ville de Kirundo demandent à la justice de ne pas prendre à la légère ce dossier vu que ce n’est pas la première fois que ce dernier affiche un tel comportement.

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