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“La voix des sans voix”

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La famille de feu Jean-Claude Nizigiyimana alias Kiraya n’est pas du tout satisfaite du jugement rendu par la Cour d’appel de Ntahangwa ce lundi. La famille dénonce un jugement injuste téléguidé pour des mobiles politiques et un procès émaillé d’irrégularités.

Le policier Emile Niragira poursuivi pour meurtre de feu Jean-Claude Nizigiyimana alias Kiraya de la commune Gihanga en province Bubanza a été condamné à perpétuité et à une amende de  cinquante millions de francs burundais par la Cour d’appel de Ntahangwa. 

Le tribunal de grande instance de Bubanza a acquitté le policier accusé d’avoir assassiné un citoyen nommé Jean Claude Nizigiyimana surnommé Kiraya qui est mort après avoir été tabassé par des policiers. Les habitants de Gihanga indiquent toutefois que ce policier en détention serait un bouc émissaire. Ils pointent du doigt le policier chargé de la logistique.

La corruption est l’un des fléaux qui handicapent l’appareil judiciaire burundais. Loin d’être indépendante, la justice burundaise favorise l’impunité et les justiciables en sont victimes.

La lenteur observée dans l’exécution de jugements est l’une des causes de la surpopulation carcérale dans différentes maisons de détention. Les prisonniers politiques sont les principales victimes de cette lenteur qui handicape le bon fonctionnement de l’appareil judiciaire burundais.

Les arrestations arbitraires sont de plus en plus devenues monnaie courante au Burundi. Pourtant, la législation burundaise est claire sur les personnes habilitées à arrêter les gens en conflit avec la loi. Une procédure qui n’est pourtant plus observée.

Certaines personnes qui ont déjà saisi la commission des terres et autres biens se plaignent par rapport aux prestations de cette commission. Elles font savoir que ladite commission n’accomplit pas convenablement la mission lui assignée, surtout celle de réconcilier les citoyens.

La CNTB n’a plus que deux ans pour accueillir les nouveaux cas sollicitant son intervention. La nouvelle loi précise également que les cas qui seront résolus à l’amiable sont inattaquables car considérés comme décision coulée en force de chose jugée.

La nouvelle loi qui va régir cette commission des terres et autres biens les 3 années qui lui restent semble avoir, en plus de permettre une saisie conservatoire, légalisé la réouverture des dossiers en cas d’issue non adéquate.

Le personnel de la société sucrière du Mosso,’’ Sosumo’’, apprécie le décret présidentiel mettant en place de nouveaux organes de cette entreprise. Toutefois, ces travailleurs demandent au gouvernement d’amorcer des enquêtes visant à traduire en justice les organes sortant accusés de malversation et de détournement des biens de cette société.

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