
RPA
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Pot-de-vin ou amende contre la libération
Une somme de 5.000 franc burundais est exigée à chaque adepte de la secte dite des Tempérants emprisonnés depuis six jours au cachot de la commune Ruhororo en province de Ngozi. Ces adeptes crient au vol car, nulle part n’est prévue de participer de force aux élections.
Refus de libération des prisonniers pourtant acquittés
Deux prisonniers croupissent toujours en prison alors qu’ils ont été acquittés par les juridictions compétentes du Burundi. Ces détenus demandent que justice soit rendue
La grâce présidentielle ne dépeuple pourtant pas les prisons
519 prisonniers, femmes et hommes, de la prison de NGOZI ont été libérés ce vendredi 16 Février par la grâce présidentielle. L’association volontaire des droits des prisonniers "AVDP" qui milite pour les droits des prisonniers dans la région septentrionale du Burundi demande aux cours et tribunaux d’accélérer les procès des autres prisonniers pour qu’ils bénéficient, eux aussi, de telle mesure de grâce présidentielle.
Burundi : De nouvelles charges contre Germain Rukuki
La justice burundaise aurait retenue les nouvelles accusations contre Germain RUKUKI, activiste des droits humains, de l’organisation Action Chrétienne pour l’Abolition de la Torture, ACAT-BURUNDI. Ainsi, deux organisations internationales qui militent pour les droits de l’homme, l’Organisation Mondiale Contre la Torture (OMCT) et la Fédération Internationale de Défense des Droits de l’Homme (FIDH) manifestent déjà leurs inquiétudes et demandent que Germain RUKUKI comparaît en audience publique dans les plus brefs délais
Sept infirmiers de l’hôpital Kinyinya en province de Ruyigi, à l’est du Burundi, sont incarcérés depuis ce 13 Janvier, ont été transférés à la prison centrale de Ruyigi ce lundi 15 Janvier. Ils sont accusés de fournir des informations au Magazine Humura Burundi de la RPA en rapport avec la collecte de la contribution forcée à cet hôpital.
La procédure pénale d’aveux et de plaidoyer de culpabilité, un mécanisme juridique idéal pour mettre fin à l’impunité des crimes commis
La ligue des jeunes du parti CNDD-FDD a été instrumentalisée dans la commission d’actes criminels, dont certains sont d’une extrême gravité. La majorité de ces actes a été exécuté par des Imbonerakure obéissant aux ordres d’autorités supérieures de l’appareil du parti CNDD-FDD, ou de l’appareil d’Etat, notamment le Service national des Renseignements, la police et l’armée. Certains d’entre eux ont été tués, d’autres vivent aujourd’hui cachés de peur de subir le même sort. Et pourtant, il existe un moyen sûr de se sortir de cet engrenage sans pour autant consacrer l’impunité, à savoir collaborer avec la justice.
Des militaires condamnés voient leurs peines commuées sans avoir comparu
Une démarche visant à diviser les militaires présumés de l'attaque des camps militaires de Bujumbura en 2015 aurait été mise en œuvre par le Lieutenant Général Prime Niyongabo. Certains d'entre eux auraient bénéficiés d’une réduction de peine sans procès au moment où le dossier en appel de ces militaires reste gardé dans les tiroirs de la cour suprême.
Bujumbura serait en train de faire disparaitre certains témoins gênants
Des informations en provenance de la prison centrale de Mpimba affirment que le prévenu Juvent Nduwimana impliqué dans l’assassinat des trois religieuses de la paroisse Guido Maria Conforti de Kamenge au Nord de la ville de Bujumbura n’est plus détenu dans cette maison pénitentiaire, depuis samedi le 11 Novembre 2017. Cet ancien détenu avait reçu du directeur de la prison OPC 2 Déo BIGIRIMANA, une permission de se rendre à l’extérieur de la prison. Une permission qu’il a reçu en début d’après-midi du samedi selon toujours nos sources.
L’ACAT France préoccupée par la détention abusive de Germain RUKUKI
Dans une correspondance adressée au Président NKURUNZIZA au cours de ce mois de Novembre, l’ACAT France se dit préoccupée par la détention jugée abusive de Germain RUKUKI, et demande sa libération immédiate et sans conditions. Côté autorités burundaises, aucune réponse à cette ONG sur son cas.
Les juges de la CPI autorisent l’ouverture d’une enquête sur la situation au Burundi
La Chambre Préliminaire III de la Cour Pénale Internationale vient d’autoriser au Procureur de la CPI à ouvrir une enquête sur des crimes commis et relevant de la compétence de cette Cour. Des enquêtes qui pourraient concerner les crimes commis même avant la date du 26 Avril 2015 ou après le 26 Octobre. Dans une déclaration rendue publique ce jeudi 9 Novembre 2017 Fadi El Abdallah, porte-parole de la CPI précise que les éléments justificatifs présentés par le Procureur de cette Cour suffisent pour enquêter sur les crimes contre l’humanité qui ont été commis.