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Radio Publique Africaine
“La voix des sans voix”

Le féminicide à l’honneur au Burundi.

Une femme de la province Bubanza e été tuée poignarder par son  marie la nuit dernière. Il s’agit d’une 4ème  femme tuée au Burundi  en l’espace d’une semaine.

Le drame c’est passée sur la  colline GAHWAZI en commune MPANDA la soirée de ce  dimanche. Un  homme a  poignardé sa  femme  qui était enceinte. La femme est morte sur le champ.

Des informations recueillies auprès de l’admiration locale indiquent que  l’auteur de ce crime a été arrêté  par le voisinage. L’administration se réjouit qu’il ait été directement remis à la police.

Le corps de la  victime a été transporté à la  morgue de l’hôpital Mpanda. En province Bubanza  il s’agit d’une 2ème femme tuée  en  l’espace de  4 jours. Une autre jeune fille avait été tuée à Gahongore en  commune Bubanza  le neuf de ce mois. Les auteurs  qui n’ont pas été identifiés l’ont étranglé à l’aide d’un foulard après l’avoir violée.

Une autre femme a été tuée  le  même jour en commune Mabanda de la province Makamba. L’auteur du crime, son mari, a également été tué l’enfant que portait la  victime. Une 4ème  femme a été tuée à Bururi le 8  février. L’auteur est un policier qui a tué cette femme après  l’avoir violée.

Quatre des cinq cadavres des militaires burundais ont été repêchés dans la rivière Rusizi.

Quatre cadavres des cinq militaires burundais morts noyés dans la rivière Rusizi la semaine dernière auraient été repêchés. Les informations en possession de la RPA indiquent que l’armée burundaise se préparerait actuellement pour leurs obsèques.

 Les cadavres qui auraient été déjà repêchés sont ceux de Caporal-chef Sinzinkayo Jean de Dieu, Caporal Nduwimana Aaron, 2ème  classe Ndayikejimana Alexis et 2ème   Classe Harerimana Jean-Claude. Mais, leurs fusils seraient toujours portés disparus.

Les sources de la RPA au bureau de l’Etat-Major Général de l’armée burundaise révèlent que ces militaires étaient affectés sur une position établie en République Démocratique du Congo tout près de la rivière Rusizi. Selon toujours ces sources, ils n’étaient pas avec d’autres militaires burundais se trouvant en RDC. Ces sources révèlent que ces militaires se sont noyés en cours de leur mission quotidienne qu’est celle de ravitailler en vivres et en bois de chauffage les militaires burundais qui se trouvent en RDC.

L’enterrement des 4 corps des militaires retrouvés est programmé à partir de ce samedi. Les obsèques sont actuellement en cours de préparation et se feront suivant l’arrivée de leurs familles, selon nos sources.

Ces militaires se sont noyés dans la rivière Rusizi le 1er de ce mois au nombre de 11 et six ont survécu. Des cinq militaires morts noyés, seul le corps de l’Adjudant- Chef  Emmanuel Nkeshimana n’a pas encore été retrouvé. 

Meurtre par étranglement d’une jeune fille à Bubanza

Une jeune fille du nom d’Emelyne NDAMUHAWENIMANA a été tuée la nuit de ce mercredi par des gens non encore identifiés dans la localité de Ku Cuma du secteur de Gahongore en Commune et province Bubanza Cette jeune fille rentrait de la zone Mitakataka où elle avait passé sa petite soirée.

Ce mercredi, Emelyne NDAMUHAWENIMANA s’est rendu à Bujumbura pour vendre de la banane. Selon notre source à Bubanza, Emelyne NDAMUHAWENIMANA est, de retour de Bujumbura, passé rendre visite à sa grande sœur qui vit en zone Mitakataka. Elle a quitté chez sa soeur vers 21 heures.

Arrivée dans la localité de Ku Cuma du secteur Gahongore, Emelyne NDAMUHAWENIMANA a été tué par étranglement à l’aide de son foulard qu’elle enfilait normalement sur sa tête. D’après ceux qui ont vu la dépouille, les bourreaux de cette victime l’auraient violé étant donné que sa petite culotte avait été déchirée.

Pour le moment, sa dépouille repose à la morgue de l’hôpital Bubanza.

Emelyne NDMUHAWENIMANA vivait avec ses parents à la périphérie du chef-lieu de la province Bubanza dans la localité de Kidahwe.

Des Mai Mai menacent les tutsis réfugiés burundais du camp de Lusenda à la recherche des Banyamulenge.

Les réfugiés  burundais  du camp de Lusenda en RDC s’inquiètent de groupe des Mai Mai qui entrent dans ce camp à la recherche des tutsi burundais prétextant être à la recherche des banyamulenge. Ces réfugiés demandent que leur sécurité soit renforcée. 

Hier à 11heures, deux garçons réfugiés  circulant à l’intérieur du camp ont vu un groupe de Mai Mai munis d’armes qui les a encerclés au marché prétextant que ce sont des Banyamulenge.  Heureusement, un scandale a été évité de justesse. « C’était vers 11 heures, deux garçons sont allés au marché du site de Rurinda. En ce moment, ils ont vu un groupe de Mai Mai qui a encerclé le marché. C’est Dieu qui nous a protégés. Les gens allaient mourir car ces Mai Mai avaient des fusils. Ils sont allés au poste de la police et ont demandé  de leur montrer les Banyamulenge qui sont entrés dans ce marché », révèle un réfugié.

Les policiers qui assurent la sécurité de ce camp ont essayé de calmer ce groupe de Mai Mai lui expliquant que ce sont des tutsi burundais. « La police leur a dit que ce ne sont pas des Banyamulenge mais plutôt que sont des réfugiés tutsi burundais et qu’elle  connaît où  ils habitent. Mais, ces Mai Mai ne l’ont pas accepté. Les policiers leurs ont supplié de ne pas leur faire pas du mal car ce sont des réfugiés burundais et de ne pas les tuer dans le camp. Le responsable de ces Mai Mai a appelé par téléphone le chef de groupement. Ce dernier leur a interdit de les tuer à l’intérieur mais plutôt de les  sortir du camp et les tuer à l’extérieur du camp », ajoute un réfugié. 

Selon notre source à Lusenda, ces jeunes garçons burundais ont essayé de se cacher. Ce groupe de Mai Mai a semé de la pagaille au marché entrainant une paralysie de toutes les activités en plus de la tension que cela avait engendré.  «Ces deux garçons ont essayé de se sauver et ont quitté les lieux. Ces Mai  Mai ont créé un climat malsain et la situation s’est aggravée jusqu’à ce que le commissaire de la police a emmené d’autres policiers.  C’est ainsi que la situation s’est normalisée », a- t- il précisé.  

Les policiers qui assurent la sécurité du camp ont essayé de calmer la situation et ces Mai Mai sont partis.

Le commissaire de la police à Lusenda a confirmé ces informations et a ajouté qu’ils ont maitrisé la situation et tranquillisent les réfugiés burundais que leur sécurité est assurée.

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