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Nouvelle convocation du comité central de 2009 du parti UPRONA
Professeur Evariste Ngyimpenda, vice-président du parti UPRONA non reconnu par le pouvoir
Le bureau exécutif du comité central du parti UPRONA déclare la décision de Concilie Nibigira nulle et de nul effet. Une décision qui exclue Charles Nditije du parti UPRONA. Selon ce bureau, Concilie Nibigira n’a respecté aucune loi d’ordre intérieur. Pour Evariste Ngayimpenda, vice-président de l’UPRONA non reconnu par le ministre de l’Intérieur, Charles Nditije n’est pas exclu de l’UPRONA.
Une session du comité central de l’UPRONA est convoquée pour le 13 juillet prochain. Elle avait été reportée dimanche dernier sur demande de l’assistant du ministre de l’Intérieur. Et s’il arrive que cette session soit interdite, il sera démontré que le gouvernement burundais veut que l’UPRONA reste divisé, a indiqué Evariste Ngayimpenda qui s’exprimait au cours d’une conférence de presse.
Début ce lundi du premier sommet Etats-Unis-Afrique à Washington. Une cinquantaine de chefs d’Etats africains ont été invités par le Président Obama pour trois jours. Ce sommet sera consacré notamment aux relations économiques entre le continent africain et les Etats-Unis, mais aussi aux questions
Le camp Nditije disposé à se coaliser pour 2015
Le parti UPRONA dirigé par Charles Nditije se dit prêt à toute coalition pour les élections de 2015. Dans une conférence de presse de ce vendredi matin, Charles Nditije a indiqué
Les 3 militants du FNL pro-Jacques Bigirimana arrêtés la semaine dernière par la police ont été relâchés ce mercredi matin. Ils étaient incarcérés au Commissariat de police en mairie de Bujumbura. Tous ces 3 militants sont membres du Comité central du parti FNL et ont été accusés d’avoir organisé une réunion illégale et de vouloir déstabiliser le FNL de Jacques Bigirimana.
Le député Fabien Banciryanino demande des enquêtes sur des cas d’assassinat et de disparition
Le député Fabien Banciryanino élu dans la circonscription de la province Bubanza demande au procureur de la République à Bubanza de diligenter des enquêtes approfondies sur les cas d’assassinats et de disparition répertoriés dans cette province. Ce député met en garde les organes juridiques que si sa voix n’est pas entendue, ils en subiront les conséquences tôt ou tard.
Les familles de 11 détenus incarcérés à la prison de Mpimba demandent que les leurs soient libérés. Ces détenus sont toujours en prison alors qu’ils ont purgé leur peine il y’a de cela 3 mois.
Détention depuis plus de 5 mois d'un enfant de 2 ans et de sa mère à la prison de Gitega
Aline Ndikumana est incarcérée avec son enfant de 2 ans, accusée de détention illégale d’armes. Une accusation rejetée par sa famille qui affirme que la mère est victime de l’appartenance politique de son époux, leader du parti CNL à Nyabiraba. Ce dernier a été traqué plusieurs fois sans être appréhendé.
La ministre de la justice est citée parmi les manipulateurs des instances judiciaires dans l’affaire Clément Nkurunziza. La ministre Aimée Laurentine Kanyana s’activerait pour exiger au tribunal de condamner à perpétuité le présumé planificateur des massacres des étudiants hutu de l’université du Burundi en 1995.
Human Rights Watch dénonce l’instrumentalisation de la justice dans le dossier des quatre journalistes d’Iwacu
L’organisation internationale de défense des droits humains Human Rights Watch trouve partisans les juges qui ont siégé dans le procès des journalistes du groupe de presse Iwacu. Pour cette organisation, c’est un procès qui a été entaché d’irrégularités. Human Rights Watch estime que ce procès est un exemple éloquent de l’instrumentalisation de la justice burundaise.
Le procès Clément Nkurunziza est émaillé d’irrégularités
Le substitut du procureur général de la République en province Ngozi a requis une peine d’emprisonnement à perpétuité contre Clément Nkurunziza, ancien président de l’association des étudiants de Rumuri (ASSER) à l’université du Burundi. La justice burundaise accuse Clément Nkurunziza d’être impliqué dans les massacres perpétrés contre les étudiants de campus Mutanga en 1995. Pourtant, l’accusé a prouvé au cours du procès qu’il n’était pas parmi les auteurs de ces massacres.