L’impasse politique que traverse le Burundi ne peut pas être résolue par le recours à la violence quels que soient les auteurs, indique le communiqué de l’Union Européenne de ce dimanche, 2 août, juste après l’attentat qui a coûté la vie au Lieutenant Général Adolphe Nshimirimana, ancien chef des services secrets burundais.
Le retour au dialogue pour trouver une solution politique et consensuelle est plus que nécessaire selon ce communiqué de l’un des principaux partenaires du Burundi qui estime urgent la relance de la médiation ougandaise.
L’attentat qui a ôté la vie au Lieutenant Général Adolphe Nshimirimana reflète une dangereuse escalade de la violence au Burundi, précise également l’Union Européenne qui appelle tous les acteurs burundais à la retenue.
Make sure you enter all the required information, indicated by an asterisk (*). HTML code is not allowed.
Nous avons 419 invités et aucun membre en ligne