« Provoquer des graves brouilles avec l’Union Européenne serait suicidaire pour le Burundi. » Déclaration de Faustin Ndikumana, président de l’association PARCEM après que le parlement européen ait demandé au gouvernement burundais de libérer Pierre Claver Mbonimpa, président de l’APRODH. Dans une conférence de presse de ce lundi matin, Faustin Ndikumana a rappelé les avantages que tire le Burundi des Accords de Cotonou qui lient les pays africains à l’Union européenne en matière de respect de l’Etat de droit et de gestion démocratique.