« La politique de tolérance zéro aux actes de corruption et de malversations économiques annoncée par le chef de l’Etat, il y a 4 ans lors de son investiture est un véritable échec. » C’est le constat du président de l’ONG locale PARCEM dans un point de presse animé ce mardi. Selon Faustin Ndikumana, des multiples raisons militent pour cette position. Le président de la PARCEM indique que cette pratique de corruption à grande échelle cause d’énormes pertes au Burundi car les institutions de Bretton Woods exigent certaines conditionnalités pour financer des projets de développement.