Le mode de transfert d'une assistance aux bénéficiaires ciblés va être modifié selon la liberté de choix en se référant sur l'habitude alimentaire de chaque bénéficiaire. Ainsi, au lieu de distribuer l'aide en nature,il va y avoir d'autres modalités qui permettent le choix aux bénéficiaires pour satisfaire leurs besoins alimentaires.
Les organisations qui donnent cette aide alimentaire se sont renduescompte que certaines personnes vulnérables préfèrent des produits pour d'autres besoins alimentaires.Selon le ministre des droits de la personne humaine et des affaires sociales et du genre Martin Nivyabandi,« ce programme de ces organisations mondiales converge avec la politique de protection sociale qui est en train d'évoluer pour coordonner la politique de protection sociale ».
Nicole Jacquée, directrice adjointe du programme alimentaire mondial déclare que « la plus-value de ce programme est de donner aux vulnérables la liberté de choisir les produits alimentaires à consommer selon les habitudes alimentaires de chacun ».