Après les événements de 2015 au Burundi, des milliers de burundais se sont réfugiés un peu partout en Afrique, en Europe et en Amérique. Diomède Kwizera est un de ces réfugiés. Il s’est exilé en Mozambique et a développé la culture de tomates, une initiative qui lui permet de survivre aux multiples défis de la vie d’exil.
Pénurie de haricots au chef-lieu de la province Kayanza depuis plus de trois semaines. Même le peu qui est disponible sur le marché se vend à un prix exorbitant, au grand désarroi de la population.
Naissance d’un nouveau syndicat des journalistes au Burundi. Il s’agit du syndicat Burundians Journalists Alliance, ‘’BJA’’. Comme l’ont indiqué les initiateurs du syndicat, Il aidera à résoudre les problèmes auxquels font face les journalistes burundais. Cependant, certains journalistes grognent déjà. Ils affirment que très peu de journalistes ont été associés dans la création dudit syndicat.
Le Fonds des Nations Unies pour l’Enfance (UNICEF) estime qu’en Afrique, 66% des filles ne disposent pas d’une bonne information sur la menstruation avant d’être confrontées à leurs premières règles, ce qui rend l’expérience négative, et parfois traumatisante.
Côté réfugiés, les femmes et filles burundaises sont confrontées à diverses difficultés liées à l’hygiène menstruelle.