La famille menacée aujourd'hui d'expropriation précise que la CNTB avait il y a plus de cinq ans partagée la propriété foncière en deux parties égales entre la rapatriée et la résidente.
La tension entre les deux familles resurgit, il y a de cela deux semaines.
"Il y a deux semaines quand les magouilles commencent à se manifester, on a vu des tracts de menaces demandant aux familles des résidents de quitter cette propriété pour que les rapatriés la récupère, il y a eu des intimidations. Les rapatriés disent qu'ils vont tuer les résidents, si une fois, ils ne quittent pas cette propriété foncière. Après, les résidents ont saisi les administratifs mais comme les administratifs soutiennent les rapatriés, ils demandent à ces résidents de quitter", explique notre source.
L'administrateur de la commune Vugizo, Jocelyne Nibimpa et l'Officier de la police judiciaire de la commune sont accusés d’etre derrière ces menaces d’expulsion.
"Que les administratifs ne s'immiscent pas dans cette affaire et laissent la tâche à la CNTB. C'est l'administrateur, l'OPJ, des chefs collinaires et les rapatriés qui menacent ces résidents. Actuellement, les résidents ne savent pas sur quel pied danser, ils dorment à la belle étoile, ils demandent à la justice de se saisir de cette affaire et que les administratifs et l'Officier de la police judiciaire arrêtent de s'ingérer dans cette affaire", Conclut notre source.
L'administrateur communal de Vugizo Jocelyne Nibimpa nie toutes ces accusations