directeur général de la REGIDESO a passé outre la loi. Même l’article qu’il a avancé n’est pas applicable pour leur cas. Ce cadre de la REGIDESO cite ici l’absence des avertissements conformément à l’article 16 du règlement d’entreprise pour pouvoir prendre sa défense. Ce jeudi, devant un parterre de journaliste, le directeur de la REGIDESO a eu du mal à expliquer son agissement à travers le cadre légal. Il a tout simplement dit qu’il n’était pas juriste. Déogratias Burege, Rénovat Nimpaye et Déogratias Kavyandari sont trois autres employés suspendus de la REGIDESO. Ils sont accusés d’avoir passé un marché de 2 milliards de francs burundais sans l’aval de la direction, ce que ces trois employés réfutent et parlent d’un dossier pendant en justice. Ingénieur Rénovât Nimpaye regrette le fait qu’il a été suspendu du travail alors que même le bureau qui le supervisé a été promis par le même directeur général de la REGIDESO, Libérât Mpfumukeko. Les informations à la disposition de la RPA font savoir que la suspension de ces cadres de la REGIDESO ne fait pas l’unanimité au sein du syndicat des travailleurs de la REGIDESO.
Quatre employés renvoyés de la REGIDESO crient à l’injustice
La direction générale de la REGIDESO a violé le Code du travail par la suspension de quatre cadres de cette entreprise. Ces employés indiquent que l’argument de l’article 41 avancé par le directeur général de la REGIDESO, Libérât Mpfumukeko, pour les renvoyer n‘est applicable qu’aux seuls employés en détention. Il ne s’agit ni plus ni moins d’une persécution délibéré à leur encontre, avancent-ils.
Ingénieur Désiré Madidi est l’un des employés suspendu de la REGIDESO. Selon lui, le
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