L’Agence de Promotion des Investissements « API » devrait accompagner les investisseurs jusqu’à la création effective de leur entreprise. Selon une étude sur l’analyse du travail de l’API qui a été commandité par l’ONG locale PARCEM, l’API ne se limite qu’à l’octroi des statuts. Pour l’expert Charles Nihangaza, l’API devrait aider ces investisseurs à surmonter les obstacles qu’ils rencontrent au niveau d’autres instances et ainsi le Burundi pourra en tirer profit.
A côté de cela, l’expert Nihangaza cite parmi les obstacles à l’investissement au Burundi, la sécurité qui n’est pas garantie ainsi qu’un manque de lois qui protègent les investisseurs. L’objectif de cette étude commanditée par PARCEM est de faire un clin d’œil à l’API et au gouvernement en général pour améliorer le secteur des investissements.