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Il faut des organes reconnus par le parti FRODEBU pour unifier cette formation politique
« Le parti Sahwanya FRODEBU se dit toujours favorable à la réunification avec le FRODEBU Nyakuri. » Déclaration du porte-parole de ce parti, Phénias Nigaba. Ce dernier précise toutefois que cette réunification doit se faire dans un cadre et par des organes reconnus par la direction du parti. Le parti Sahwanya FRODEBU demande au sénateur Domitien Ndayizeye récemment exclu du parti d’assumer son intégration au FRODEBU Nyakuri et de ne plus prétexter vouloir la mise en application du projet de réunification de ces partis car il n’en a pas les prérogatives.
Le FRODEBU par la voix de Phénias Nigaba déclare qu’il va porter plainte contre toute personne qui a utilisé les insignes de ce parti sans autorisation. Il demande au ministère de l’Intérieur de veiller au respect de la loi régissant les partis politiques.
Charles Nditije s’insurge contre l’exclusion des « acteurs politiques » dans les CEPI et CECI
Le parti UPRONA proche de Charles Nditije estime que le terme acteur politique est une émanation du parti au pouvoir CNDD-FDD pour exclure certains partis politiques du processus électoral. Pour Charles Nditije, cela remet en cause les engagements que le gouvernement burundais a pris lors des différents ateliers organisé à l’endroit des hommes politiques. Charles Nditije trouve que cette politique d’exclusion a commencé avec le démantèlement des partis politiques suivi par le non respect de la parole donnée. Le gouvernement avait consentie à faciliter la tâche aux acteurs politiques dans leur organisation mais c’est le contraire qui se produit, continue Charles Nditije. Ce dernier ne comprend pas pourquoi les acteurs politique sont exclus des CEPI et des CECI au moment où les confessions religieuses et la société civile sont associées dans cette formation alors que cela n’est inscrit nulle part dans la Constitution ou dans le Code électoral. Ce qui n’est pas interdit est normalement autorisé, a conclu le président du parti UPRONA non reconnu par le ministère de l’Intérieur.
Charles Nditije s’insurge contre l’exclusion des « acteurs politiques » dans les CEPI et CECI
Le parti UPRONA proche de Charles Nditije estime que le terme acteur politique est une émanation du parti au pouvoir CNDD-FDD pour exclure certains partis politiques du processus électoral. Pour Charles Nditije, cela remet en cause les engagements que le gouvernement burundais a pris lors des différents ateliers organisés à l’endroit des hommes politiques. Charles Nditije trouve que cette politique d’exclusion a commencé avec le démantèlement des partis politiques suivi par le non respect de la parole donnée. Le gouvernement avait consentie à faciliter la tâche aux acteurs politiques dans leur organisation mais c’est le contraire qui se produit, continue Charles Nditije. Ce dernier ne comprend pas pourquoi les acteurs politique sont exclus des CEPI et des CECI au moment où les confessions religieuses et la société civile sont associées dans cette formation vitale pour les élections alors que cela n’est inscrit nulle part dans la Constitution ou dans le Code électoral. Ce qui n’est pas interdit est normalement autorisé, a conclu le président du parti UPRONA non reconnu par le ministère de l’Intérieur.
Deux accords violés dans l'exclusion des "acteurs politiques" dans les CEPI et les CECI
Depuis un certain temps, une confusion est entretenue autour du terme « acteurs politiques » et leurs places dans le processus électoral. Ce terme est aujourd’hui utilisé par plusieurs officiels pour distinguer les responsables des partis politiques reconnus par le pouvoir et les hommes politiques à la tête des partis politiques non reconnu par le ministère de l’Intérieur. Aujourd’hui ces acteurs politiques, sans partis politiques reconnus par le pouvoir, se disent exclus de ce processus électoral, alors que le terme acteur politique concerne toute personne qui a un rôle dans la politique, selon le dictionnaire.
Le terme acteur politique dans la sphère politique burundaise a commencé à être utilisé au mois de mars 2013. A ce moment, le bureau des Nations Unies au Burundi et le gouvernement burundais avaient organisé un atelier sur le processus électoral au Burundi avec comme thème : « Enseignement et perspectives ». Cet atelier coïncidait avec le retour d’exil de certains hommes politiques dont Alexis Sinduhije, Pascaline Kampayano et Pancrace Cimpaye. Lors de cet atelier où la feuille de route a été adoptée, le président de la Commission électorale nationale indépendante, Pierre Claver Ndayicariye s’est réjouit de la présence de tous ces acteurs politiques sans distinction. Quelques mois après, lors de l’atelier du 27 au 29 novembre 2013 sur l’évaluation de la mise en œuvre de la feuille de route, tous les participants avaient recommandé au 18ème point d’assurer je cite : « Une participation inclusive de tous les représentants des partis politiques et acteurs politiques dans les commissions électorale provinciales et communales, CECI et CEPI. Le même engagement revient dans les principes généraux pour la bonne conduite des élections de 2015 signés le 9 juin 2014 par le ministre de l’Intérieur et tous les acteurs politiques.
Toutefois, il apparaît qu’une distinction a commencé à s’opérer dans l’usage du terme acteur politique désignant depuis quelques mois les hommes politiques à la tête des partis politiques non reconnus par le pouvoir. Ainsi, le président de la CENI, Pierre Claver Ndayicriyea déjà opéré un changement de langage en déclarant il y a une semaine que ces acteurs politiques ne peuvent être associés dans la composition des CEPI et des CECI.
Aujourd’hui une certaine opinion s’interroge si le terme acteur politique n’a pas été introduit avec pour but d’exclure certains leaders politiques alors que ce terme désigne généralement toute personne qui fait de la politique selon le dictionnaire.
Chauvineau Mugwengezo contre la manière de travailler de la CENI
Le parti UPD-Zigamibanga de Chauvineau Mugwengezo s’insurge contre la CENI qui ne consulte pas tous les acteurs politiques. Cela a été
La fièvre électorale monte aussi dans les rangs du CNDD-FDD à Cibitoke
Des chicanes risquent d’éclater au sein du parti CNDD-FDD dans la province de Cibitoke. Les membres de ce parti commencent à se constituer en des groupuscules. Ces militants se rangent derrière tel ou tel selon son influence au niveau provincial. Le tout tourne autour du positionnement pour les élections de 2015.
Deux poids lourds à la province Cibitoke se disputeraient les têtes de listes du parti à l’aigle. Il s’agit d’Alexis Barekebavuge et
Les évêques catholiques du Burundi souhaitent un processus électoral non-discriminatoire
« L’église catholique burundaise estime que le processus électoral doit être bien mené et sans aucune exclusion. » Déclaration de Monseigneur Gervais Banshimiyubusa après que le président de la CENI ait annoncé que les acteurs politiques sans partis politiques ne seront pas consulté pour la mise en place des CEPI et CECI. A propos de leur représentation dans ces organes, le Conseil national des évêques catholiques du Burundi fait savoir qu’ils ne se sont pas encore prononcés sur leur représentation ou nom. Une interview menée par nos confrères de la radio Bonesha FM.
Les choses se compliquent entre Léonce Ngendakumana et Domitien Ndayizeye
L’ancien président de la république Domitien Ndayizeye vient d’être exclu du parti Sahwanya FRODEBU. Une décision qui tombe un mois et demie après sa suppression par la direction du parti. L’annonce a été faite ce lundi matin dans une conférence de presse par
Nouvelles doléances des partis et acteurs politiques pour la réussite des élections de 2015
Neuf des partis et acteurs politiques signataires des principes généraux pour la bonne conduite des élections de 2015 ont saisi ce jeudi le président de la Commission Electorale Nationale Indépendante « CENI ». Dans la correspondance lui transmise avec
Accusation contre le ministre de l’Intérieur de vouloir couler ADC-Ikibiri
Les jeunes de l’AJDC affiliés à la coalition de l’opposition ADC-Ikibiri dénoncent la volonté du ministre de l’Intérieur de vouloir démanteler l’ADC-Ikibiri. Selon Patrice Gahungu, porte-parole de l’AJDC, cette manœuvre passe par la création du nouveau parti dénommé APDR dont les militants affirment qu’ils se sont désolidarisés de l’ADC-Ikibiri. Il demande au ministre de l’Intérieur d’être au dessus de la mêlée et de laisser les partis politiques s’organiser librement.