
RPA
Selfies labore, leggings cupidatat sunt taxidermy umami fanny pack typewriter hoodie art party voluptate. Listicle meditation paleo, drinking vinegar sint direct trade.
Début d’une nouvelle campagne contre la vie chère au Burundi
Les organisations locales engagées dans la lutte contre la vie chère entament une nouvelle étape de leur combat avec un nouveau projet dénommé : « D’où as-tu tiré ta richesse ? ». Ce projet sera officiellement lancé ce mercredi au cours d’une conférence publique à 15h à EGO Hôtel. Selon Gabriel Rufyiri, président de l’OLUCOME, l’une des organisations engagées dans cette campagne, il existe une poignée de personnes qui détiennent des hôtels, des villes et d’autres biens immobiliers au détriment de la population. Jusque là, indique Gabriel Rufyiri, les correspondances adressées aux hautes autorités dans le cadre de la campagne contre la vie chère sont restées lettres mortes.. Propos recueillis au cours d’une conférence de presse.
Le Syndicat Général des Commerçants « SYGECO » vient de saisir le Comité national du dialogue social pour inviter la cellule de crise mise en place par le gouvernement après l’incendie du marché central de Bujumbura à accepter le dialogue avec le syndicat SYGECO. Selon Audace Bizabishaka, président du SYGECO, ce dialogue devrait porter sur la distribution des nouveaux stands de commerce au marché provisoire dit du COTEBU. Ces propos ont été recueillis au cours d’une conférence de presse ce mardi.
Début d’une nouvelle campagne contre la vie chère au Burundi
Les organisations locales engagées dans la lutte contre la vie chère entament une nouvelle étape de leur combat avec un nouveau projet dénommé : « D’où as-tu tiré ta richesse ? ». Ce projet sera officiellement lancé ce mercredi au cours d’une conférence publique à 15h à EGO Hôtel. Selon Gabriel Rufyiri, président de l’OLUCOME, l’une des organisations engagées dans cette campagne, il existe une poignée de personnes qui détiennent des hôtels, des villes et d’autres biens immobiliers au détriment de la population. Jusque là, indique Gabriel Rufyiri, les correspondances adressées aux hautes autorités dans le cadre de la campagne contre la vie chère sont restées lettres mortes.. Propos recueillis au cours d’une conférence de presse.
Le pont séparant la commune Isare et la commune Kanyosha s’est effondré. Et cela depuis plus de 2 mois. Les commerçants qui s’approvisionnent au marché d’Isare sont obligés de traverser à pied la rivière Ntahangwa.
L’analyse et l’adoption du projet de loi budgétaire révisé 2014 prévus pour ce mercredi matin à l’Assemblée nationale ont été reportées à 15 heures. Selon certaines sources à l’hémicycle de Kigobe, les députés de la Commission finances ne se sont pas encore totalement convenus avec le ministère des Finances sur les changements à apporter à ce projet de loi. Ce projet de loi budgétaire révisé prévoit entre autre l’introduction de nouveaux impôts et taxes pour compenser les pertes de recettes escomptées selon du moins les motifs avancés par le gouvernement. Aussi, ce projet de loi prévoit de revoir à la hausse les dépenses de certaines institutions et ministères dont la présidence de la république pour un montant supplémentaire de 6 milliards et demi de francs par rapport au budget initial.
Et selon les dernières nouvelles, l’Assemblée nationale a adopté en fin d’après-midi de ce mercredi le projet de loi budgétaire révisé 2014 à 81 voix pour, 13 contre et une abstention. Les députés ont proposé 5 amendements de fonds tandis que le ministre des Finances, Tabu Abdallah Manirakiza, a proposé 6 amendements qui ont pour objectif de corriger les erreurs qui se trouvaient dans ce projet de loi. Parmi les députés qui ont voté contre ce projet de loi budgétaire révisé, le docteur Jean Minani. Ce parlementaire a indiqué que ce texte vient rehausser certaines taxes qui vont obligatoirement avoir des incidences négatives sur le niveau de vie déjà très précaire de la population.
Echec de l’évaluation de la feuille de route
Mauvaise appréciation de l’évaluation de la feuille de route hier jeudi à Gitega par l’ADC-Ikibiri. La coalition se dit déçue du déroulement. Pour Léonce Ngendakumana, président de l’ADC, les points sensibles dont la situation politico-sécuritaire au Burundi n’ont pas été débattus. Le gouvernement l’a fait exprès selon Léonce Ngendakumana.
Quant au président du FNL non reconnu par le ministère de l’Intérieur, le gouvernement burundais ne manifeste pas sa volonté d’inclure tout le monde dans la préparation des élections. Agathon Rwasa se dit étonné du fait qu’aucun point figurant dans la feuille de route n’a été discuté.
Le président Melchior Ndadaye, pionnier de la démocratie au Burundi
Le Burundi commémore ce mardi le 21ème anniversaire de l’assassinat du président Melchior Ndadaye, premier chef d’Etat démocratiquement élu en juin 1993. Melchior Ndadaye a été assassiné par des militaires lors d’un putsch dans la
L’Union Européenne insiste sur le respect de la feuille de route et du code de conduite
La considération de la feuille de route et du code de conduite pour les élections de 2015 sont l’une des préoccupations des chefs de missions de l’Union Européenne au Burundi. Ces préoccupations ont été exprimées au gouvernement lors d’une réunion de dialogue politique qui a eu
Election rime avec le découpage territorial, selon Charles Nditije
Les députés du parti UPRONA sont contre le nouveau découpage territorial du Burundi qui se prépare à être mis en exécution par le gouvernement. Charles Nditije, un des élus de l’UPRONA indique que cela cache des motifs électoraux au profit du parti CNDD-FDD. De surcroît, ces députés de l’UPRONA ne seraient pas dérangés que la commune Rumonge devienne une province. C’est plutôt le fait que cela se fasse à la veille des élections qui les inquiétaient.
Le député Charles Nditije affirme que le gouvernement les met toujours devant un fait accompli dans l’adoption ou rejet des projets de lois. Interrogé sur le fait que les députés de l’UPRONA ont voté pour la réorganisation des communes urbaines, Charles Nditije indique qu’il la juge bénéfique pour les habitants de la mairie.
Colère de la Communauté Batwa après la formation des CEPI
Certains représentants de la Communauté Batwa accusent la CENI d’exclusion. 2 personnes, un hutu et un tutsi ont été copté comme des batwas à Kayanza et Ngozi dans les CEPI. Affirmation du sénateur Vital Bambanze, représentant de la Communauté Batwa à la chambre haute du parlement. Ce sénateur demande à la CENI de corriger ces erreurs en accordant ces 2 places aux vrais batwa et que ces 2 personnes coptées soient poursuivies en justice.