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Grogne explosive des travailleurs au port de Bujumbura
Préavis de grève du personnel du port de Bujumbura. Le syndicat de ce personnel conteste ce qu’il qualifie de harcèlement du personnel suite aux revendications qu’il opère pour la survie de l’entreprise Global Port Services.
Saisie contestée des véhicules remplis de manioc à l'OBR
Six véhicules de modèles Fuso chargés de manioc sec ont été consignés dans les entrepôts de l’OBR depuis ce jeudi matin. Les vendeurs de manioc sec affirment disposer de tous les documents exigés. Une nouvelle loi serait à l’origine de cette confiscation. Mais les commerçants affirment qu’ils ne sont pas au courant de cette nouvelle législation.
A l’Office Burundais des Recettes, Joah Katanga, directeur des douanes déclare qu’un agent de douane a le droit de saisir les marchandises s’ils les suspectent d’être frauduleuses. Toutefois, le contrôle et les enquêtes devraient se faire dans les brefs délais.
Colère de la Tanzanie dans la sélection des candidatures du dirigeant de Rusumo Falls
Le chois du directeur général du projet de construction de la centrale hydroélectrique Rusumo Falls a suscité des débats houleux hier mercredi. C’était lors
Important déficit énergétique au Burundi
Seule une quantité de 30 mégawatts d’électricité est produite au Burundi, une quantité largement insuffisante même pour la ville de Bujumbura. La capitale à elle seule a besoin de 40 mégawatts déclare le directeur général de la Régideso. Toutefois, Libérat Mpfumukeko fait savoir que malgré ce déficit, il ne devrait pas y avoir un délestage de plus de 12 heures.
Le directeur général de la Regideso s’est exprimé au cours d’une réunion de 3 ministres en charge de l’énergie du Burundi, du Rwanda et de la Tanzanie pour évaluer l’état d’avancement des travaux de la centrale hydro-électrique Rusumo Falls. Il s’agit d’un projet commun qui permettra la production de 80 MW. Le ministre burundais de l’Energie et des Mines, Côme Manirakiza a annoncé que les travaux d’aménagement prendront fin en 2018.
Une trêve pour acheminer le charbon de bois à Bujumbura
Le ministre de l’Environnement a octroyé une autorisation spéciale à tous les transporteurs de charbon de bois afin qu’ils continuent leur commerce. Et ce pour une durée d’une semaine. Cette décision de ce ministère intervient afin de couper court à la pénurie du charbon qui faisait rage ces derniers temps. Le ministre de l’Environnement recommande également à tous ces transporteurs de revoir à la baisse le prix du charbon de bois, tout comme il exige à se conformer à la nouvelle réglementation en vigueur dans la vente de ce produit de première nécessité.
Arrivée massive des commerçants pour se faire enregistrer
Début ce lundi matin des inscriptions des commerçants qui avaient des contrats à l’ancien marché central de Bujumbura. L’objectif est de pouvoir distribuer les places au nouveau marché du COTEBU. Les inscriptions se font au stade Prince Louis Rwagasore où il y a eu des bousculades.
Des cris et bousculades des commerçants ont débuté l’enregistrement l’avant-midi de ce lundi au stade Prince Louis Rwagasore pour avoir des places au nouveau marché du COTEBU. La police a vite intervenu et a réussi à rétablir l’ordre. Melchiade Simbaruhije, président de la Commission de crise chargé de suivre les questions du marché central de Bujumbura précise que les opérations d’enregistrer les commerçants se déroulent très bien même si le début est toujours difficile. Même les commerçants qui se faisaient enregistrer apprécient le début de ces opérations. Le problème majeur est que le nombre des commerçants qui viennent se faire enregistrer risque de dépasser le nombre de places prévues au nouveau marché du terrain de COTEBU.
La solution à la pénurie du charbon de cuisine en mairie de Bujumbura
Les fournisseurs de charbon de bois demandent à l’Etat de leur faciliter la tâche. Ils disent que ce n’est pas à eux de procéder au remplacement des arbres utilisés dans la fabrication du charbon. Cela a été dit après que le ministère de l’Environnement ait pris une décision d’empêcher ces fournisseurs de faire descendre le charbon de bois en mairie de Bujumbura sans qu’ils montrent les papiers indiquant que les arbres utilisés dans la fabrication de celui-ci ont été remplacés par d’autres.
Les indicateurs macro-économiques du Burundi au rouge selon PARCEM
La PARCEM appelle le gouvernement burundais d’ouvrir un large débat sur la situation socio-économique actuelle. Ici, Faustin Ndikumana se réfère aux indicateurs alarmants comme, selon lui, l’inflation, le taux de croissance, les exonérations et la situation bancaire. Le président de la PARCEM donne l’exemple du taux de croissance prévu pour cette année par le Cadre Stratégique de Lutte contre la Pauvreté II « CSLPII » à 80 pourcent, mais actuellement fixé à 40 pourcent. Et la limite des exonérations fixée à 18 milliards de francs, se trouve en ce moment à 60 milliards de Fbu. Le président de la PARCEM s’est exprimé après la sortie du rapport d’exécution budgétaire du deuxième trimestre. Ainsi que, le rapport numéro 33 du Comité de politique monétaire de la banque centrale.
Enregistrement des commerçants de l’ancienne SOGEMAC sur fond de divergence
La Cellule de crise gouvernementale d’attribution des stands au marché provisoire du terrain du COTEBU opte pour le forcing dans l’attribution des places à ce marché. C’est ce qu’affirme le syndicat des commerçants SYGECO. Cette cellule de crise vient d’appeler tous les commerçants ayant des contrats avec la SOGEMAC, gestionnaire de l’ancien marché incendié, à se faire enregistrer dès ce lundi. Et pourtant, la médiation entre la cellule et le syndicat SYGECO a été amorcée par le Comité national de dialogue social mais semble au point mort.
Au sein du Syndicat Général des Commerçants, ils affirment être en conflit ouvert avec la cellule de crise gouvernementale d’attributions de stands au marché provisoire du COTEBU. Pour Audace Bizabishaka, président du SYGECO, ceux qui représentent les commerçants dans cette cellule n’ont pas le mandant de commerçants car ils ont été chassés au sein du SYGECO.
Le président du SYGECO affirme que la médiation entre le SYGECO et la cellule de crise avait commencé cette semaine sous le pilotage du Comité national de dialogue social. Mais le CNDS a informé le SYGECO ce vendredi matin que la cellule de crise gouvernementale a refusé de se mettre sur une même table de dialogue avec le SYGECO.
Serges Ngendakumana, président du Comité nationale de dialogue social affirme à son tour qu’il y a un conflit ouvert entre le SYGECO et la cellule de crise gouvernementale.
Melchior Simbaruhije, président de la cellule de crise gouvernementale dit qu’il se mettre à une même table de dialogue avec le SYGECO si la médiation enclenchée par le Comité national de dialogue social est fondé.
Le CNDS promet continuer avec la médiation bien qu’une partie n’a pas voulu attendre les conclusions de ces médiations. Audace Bizabishaka appelle à son tour à tous les commerçants de se faire enregistrer dès ce lundi.
Le petit commerçant burundais réclame lui aussi les avantages de l’EAC
Le Burundi est le seul pays de la Communauté Est Africaine qui ne respecte pas les règles d’origines qui mettent en place le certificat d’origine simplifié. Ce système permet en principe aux petits commerçants qui font le commerce transfrontaliers de faire des déclarations simplifié pour les marchandises ne dépassant pas 2000 dollars. Pou ces petits commerçants, il s’agit d’une injustice du moment que cette loi est respectée dans d’autres pays de la Communauté Est Africaine.