La PARCEM appelle le gouvernement burundais d’ouvrir un large débat sur la situation socio-économique actuelle. Ici, Faustin Ndikumana se réfère aux indicateurs alarmants comme, selon lui, l’inflation, le taux de croissance, les exonérations et la situation bancaire. Le président de la PARCEM donne l’exemple du taux de croissance prévu pour cette année par le Cadre Stratégique de Lutte contre la Pauvreté II « CSLPII » à 80 pourcent, mais actuellement fixé à 40 pourcent. Et la limite des exonérations fixée à 18 milliards de francs, se trouve en ce moment à 60 milliards de Fbu. Le président de la PARCEM s’est exprimé après la sortie du rapport d’exécution budgétaire du deuxième trimestre. Ainsi que, le rapport numéro 33 du Comité de politique monétaire de la banque centrale.