son illégalité, la mesure perturbe leurs activités. Si la mesure n’est pas suspendue, ces propriétaires de bistrots comptent porter plainte.
L’arrêté du premier vice-président de la République vide certaines dispositions de la Constitution burundaise et d’autres lois. C’est l’analyse d’un professeur à l’université du Burundi qui est aussi chercheur dans le domaine du droit, Bernard Ntahiraja