Welcome to RPA   Click to listen highlighted text! Welcome to RPA Powered By GSpeech

Radio Publique Africaine
“La voix des sans voix”

RPA

RPA

Selfies labore, leggings cupidatat sunt taxidermy umami fanny pack typewriter hoodie art party voluptate. Listicle meditation paleo, drinking vinegar sint direct trade.

Le parquet de Bubanza a émis des mandats d’arrêt contre quatre imbonerakure poursuivis pour le meurtre de l’élève Faustin Niyonsaba de Gihanga. Paradoxalement, Jean Bosco Hakizimana, le chef de ces imbonerakure qui, selon la population, est le principal responsable du lynchage du jeune élève, est libre et jouit de l’impunité totale.  
A Cankuzo, une femme vient de passer une semaine au cachot de police de Cankuzo sur ordre du député Anglebert Ngendabanka. L’élu du parti au pouvoir CNDD-FDD accuse la femme de l’avoir injurié ; mais les habitants crient à l’injustice. 
Les enquêtes rendues publiques par le porte-parole de la police après l'attentat contre le Conseiller principal en communication de la Présidence suscite des interrogations. Les proches du Colonel Dieudonné Dushimagize surnommé "Gangi", incriminé par la police dans ce dossier, parlent plutôt de montage et trouvent insensé le fait de mettre cet attentat sur le dos dune personne sous les verrous depuis deux semaines et au moment des faits.
Le procès des présumés assassins du Général Adolphe Nshimirimana, ex-patron des services de sécurité burundais, est retourné Parquet de la mairie de Bujumbura depuis jeudi dernier. Les avocats de la défense croient que cette démarche, même si elle est illégale, poussera le parquet et le tribunal à prendre en considération leurs demandes d'interroger les chefs des militaires et policiers inculpés.
C’était Vendredi 11 Novembre 2016, devant les bureaux de la Cour Pénale Internationale à La Haye, en Hollande. La manifestation a vu la participation de beaucoup de burundais résidant dans différents pays d’Europe.
Le procès des quatre présumés auteurs de l'assassinat de la députée de l’EALA Hafsa Mossi aura lieu ce vendredi 11 novembre à Muramvya. D'un côté, la police déclare que ces présumés ont avoué le meurtre ; et de l'autre ces prévenus disent ne pas se connaitre les uns des autres. Entretemps les familles des prévenus sont inquiètes.
La Ligue Iteka demande à la Cour Pénale Internationale d’accélérer l’analyse des dossiers et procéder aux inculpations qui s’imposent contre les auteurs des crimes au Burundi. Dans son bulletin mensuel, la Ligue Itaka demande également à la communauté Internationale de mettre en application les différentes décisions  prises sur le Burundi. Cette Ligue des Droits de l’Homme a recensé plusieurs cas de violation des droits de l’homme dont les disparitions forcées au cours du mois d’octobre.
Le conseil de l'Ordre des Avocats a rejeté la demande de radiation de quatre avocats burundais. La décision a été prise le 27 septembre 2016 après une demande du Procureur général près la Cour d'Appel de Bujumbura. Le parquet accuse ces avocats d'avoir participé à la confection d'un rapport des Nations-Unies sur la situation des droits de l'homme au Burundi. Le Parquet a décidé d'interjeter appel.
Un enseignant  du lycée communal Bugabano de la commune Mwakiro en province Muyinga est incarcéré à la prison centrale de Muyinga depuis jeudi dernier. Il est accusé par la brigade anti-corruption d'avoir continué à toucher le salaire du travail qui a pris fin depuis 2010 ; ce que réfute la victime et évoque plutôt des mobiles politiques.
L’appel a été lancé dans un communiqué datant du mois d’août 2016. Dans ce communiqué, la Commission Vérité et Réconciliation (CVR) demande à toute personne, victime ou témoin d’actes cruels, inhumains ou dégradants de se rendre à leur bureau pour témoigner. Mais cette requête semble être presque irréalisable pour beaucoup, de peur des représailles.

Faire un don

Nos journaux parlés

Qui est en ligne?

Nous avons 538 invités et aucun membre en ligne

Click to listen highlighted text! Powered By GSpeech