La famine qui menace les réfugiés burundais du camp de Lusenda en République Démocratique du Congo pousse certains d’entre eux à se séparer de leurs familles. Certains parents vont travailler dans des contrées lointaines comme tâcheron. D’autres vont jusqu’à se livrer à la débauche pour subvenir aux besoins des leurs.
La volonté de briguer un troisième mandat de l’ancien Président du Burundi feu Pierre Nkurunziza a sombré le pays dans une des crises politique, sociale et économique les plus redoutables qu’ait traversé le pays depuis la crise de 1993. Des milliers de burundais impuissants, ont dû quitter leurs familles, leurs biens, d’autres ont vu leurs rêves s’écrouler et le travail de plusieurs années disparaitre d’un claquement de doigt. L’exil a eu raison de certains mais d’autres en ont fait une motivation. C’est le cas de Marguerite Barankitse, une des figures emblématiques du Burundi dans le domaine humanitaire, fondatrice de la maison Shalom. Aujourd’hui exilée au Rwanda, Marguerite nous parle de ses projets.
Manifestation de mécontentement par les réfugiés burundais du camp de Lusenda en République Démocratique du Congo depuis ce Lundi 24 Août. Passés plus de 4 mois sans être restaurés, ces réfugiés burundais demandent au HCR de tout faire afin qu’ils soient assistés en vivres.
La peste porcine qui vient d’être déclarée au Burundi est une maladie à virus très contagieux. Selon le ministère de l’agriculture et de l’élevage, chaque bétail infecté fini par mourir. D’où il est demandé à la population en général et aux éleveurs en particulier, d’être très vigilante surtout que dans certains cas, les symptômes tardent à se manifester.